L’inévitabilité de l’infini recommencement éternel et on joue ce samedi

Hier soir, si tu as tout suivi, nous accueillions l’Impro Binet – l’équipe de Polytechnique. À défaut de crever le plafond, on a pété le plancher lors d’une magnifique super-poursuite dépeignant la lutte acharnée de la princesse scie-circulaire contre les hommes-buches, mais la salle était bien remplie et le public avait l’air content. J’ai même croisé des gens qui ont voulu me pousser sur les rails du RER en rentrant parce que j’avais été détestable bien comme il faut dans mon rôle d’arbitre. La classe. En tout cas, merci au public et merci à l’Impro Binet d’être venu jusqu’à nous. Bisous.

Seulement voilà. On a fait une égalité. On a fait. Une égalité. Comme la dernière fois. Nous ne savons donc toujours pas à quoi nous en tenir. Enfin à vrai dire, c’est surtout que les joueurs voulaient aller boire un coup avant que tout ne soit fermé, mais personnellement ça me frustre. Donc on se retrouvera, l’Impro Binet. ON SE RETROUVERA ! Et même si la lutte doit être rude, même si nous devons nous incendier verbalement, on se retrouvera.

En attendant, figurez-toi qu’on joue ce samedi. Je vous tutoie, oui. Ce samedi, donc, on vous proposera une démo d’impro à l’ENS à l’occasion des 48h des arts. Pour ce qui est de la salle, on n’est pas tout-à-fait certain, mais ça se passera à un moment donné entre 15 et 17h. Et vu qu’il y a un million de trucs à faire et à voir ce jour là, venez passer l’après-midi entier, tu verras, c’est cool et ça change du match d’impro. Et hop : incroyable lien vers l’évènement facebook des 48h des arts.

Sur ce, je te fais des bisous, il faut que j’aille acheter du lait et des post-its.

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