La rentrée, la joie, etc.

Je ne sais pas vraiment commencer cet article, alors je vais commencer par vous inviter à regarder cette vidéo, même si vous l’avez sans doute déjà vue 200 millions de fois. Et je vais arrêter de te vouvoyer, ça va oh, me sors pas le couplet « on n’a pas élevé les cochons ensemble » ! Souviens-toi, les pieds dans la gadoue, la pluie qui tombait dru. Pourtant, que la montagne est belleuh. Rha, qu’est-ce qu’on a fait comme conneries… Sacrés toi et moi. On se déguisera en crevettes, un jour ?

Bref, c’est la rentrée et nous avons des choses à nous dire. On est repartis pour une nouvelle saison pleine de choses que je sais pas ce que c’est, parce qu’en plus d’être de l’impro, c’est dans le futur et que je suis pas Félix.

Premièrement, nous avons deux dates à vous annoncer et sur lesquelles nous reviendrons dans quelques jours pour plus de détails, mais je suis tellement fier d’annoncer un truc avec plus de deux semaines d’avance que voilà :

– nous affronterons le lundi 15 octobre la Lit de Camp à l’école Centrale Paris (qui n’est absolument pas dans le centre de Paris, même pas un peu, donc je m’insurge, je crie au scandale, je fais un troisième truc) à partir de 20h. Le match sera sanglant, avec du sang.

– nous recevrons le jeudi 18 octobre la LIDE de Cergy chez nous, à l’ENS (45 rue d’Ulm, dans le 5e arrondissement) à 20h45. Le match sera sanglant, avec du jus de carotte.

Voilà pour les dates. On reviendra vers vous avec des affiches, des horaires précis et des astuces.

Deuxièmement, pour la rentrée de nos cours débutants : il y a plein plein plein plein plein de gens qui tapent « impro paris pas cher » sur google et qui nous trouvent, du coup vous êtes environ 682 739 à nous avoir contactés pour rejoindre nos entrainements. Et ça fait super plaisir, mais on est un peu débordés, du coup n’hésitez pas à nous envoyer vos demandes, mais sauf départ massif provoqué par un éventuel meurtre en série de toute l’asso (une quarantaine d’accidents est si vite arrivée), vous serez placés sur liste d’attente. Le fait est que des départs se produisent, donc n’hésitez pas à nous contacter malgré tout.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. J’espère qu’on se revoit bientôt. Tu m’as manqué cet été, tu sais.

Bisous.

PS : en me relisant, je réalise qu’en plus de ne pas savoir si je te vouvoie ou si nous te tutoyons, je sais pas si nous nous nounoyons ou si je me memoie. Mince…