Le terrifiant duel du mercredi 1er juin

Tandis que Tania s’ennuie et vient me taper sur le haut du crâne pour me rappeler que je n’ai toujours pas fait d’affiche, je fais semblant de travailler super fort, je prends du retard et je lui donne raison. Jusqu’à ce que je réalise que Tania ne peut pas me taper sur le haut du crâne. Par contre, Victor si. Quelle incroyable transition, puisque le voici dans toute sa majesté – encore un mot dont je ne suis pas certain du sens. (Majesté, pas transition.)

Affiche du match d'improvisation du 1er juin 2011

Puisqu’ils font ça super bien, les Évadés de la Rue Barrow se sont évadés et reviennent nous affronter chez nous, après nous avoir mis une claque chez eux en décembre dernier. C’est donc l’heure de la revanche, mais gentiment ; ça fait trois ans que j’hésite à t’en parler mais je pense que tu es assez grand pour être mis au courant : l’improvisation n’est pas réellement un duel à mort. Ça sera donc le mercredi 1er juin à 20H45, à l’ENS (29 rue d’Ulm dans le 5e arrondissement) en salle Ferry. Il t’en coûtera 3 euros de venir assister à cet évènement, qui sera par ailleurs notre dernier match de la saison. (T’as vu, je te mets la pression genre « ATTENTION ! PANIQUE ! C’EST PRESQUE FINI ! ». C’est une technique de marketing du web 2.0, un truc totalement inédit.)

D’après les premiers retours, je crois que l’affiche n’a aucun sens et j’en suis désolé. Il est donc possible que cet article n’ait aucun sens non plus. Il est possible que je sois convaincu de taper des mots et de faire des phrases mais qu’en réalité, ce soit un tour que me joue mon esprit. Sacré mon esprit. Tout ça pour dire que si vous étiez en train de chercher à monter un clan de gens qui portent mon prénom pour dominer le monde, je vous demanderais de faire preuve d’indulgence et de ne pas me juger là-dessus. Enfin je dis ça au hasard, hein, je veux bien admettre que ce ne soit pas d’une immense probabilité. Mais même si elle n’a pas de sens, imprime l’affiche en quantité industrielle et colle-la partout.

Sinon, le 4 juin on ira jouer un mini-match gratuit au festival Festupic. Tu trouveras toutes les infos sur l’évènement en cliquant sur cet énorme lien qui prend toute cette phrase. Si ma mémoire est bonne, on est prévus pour 14h30 et c’est pour toi, mon ninja chéri, l’occasion de quitter Paris pendant une journée pour aller profiter de l’été naissant. (Ou comment transformer « je sais pas si on est en été ou pas encore » en « je fais de la poésie ».)

Et puis, beaucoup plus tard et beaucoup plus loin, on ira présenter un nouveau spectacle. Autrement dit, le 22 juillet à Samatan (Gers… Midi-Pyrénées… Sud-Ouest, quoi.), nous présenterons « Faites improviser l’accusé », dans le cadre du festival de théâtre de la ville. Je t’en dirai plus par la suite, mais en attendant : voici l’affiche !

Festival de théâtre de Samatan - 2011

Bisous.

Festival, cheval, rue barral, tout ça

Salut ninja. Là je suis un peu fatigué, donc je te posterai une affiche toute belle et toute bien après-demain, mais je pense que tu veux peut-être savoir que notre prochain match se jouera le 1er juin à l’ENS avec les évadés de la Rue Barrow. Tu sais, nos potes de Télécom ParisTech. C’est mercredi prochain. Viens super nombreux, ça sera sans doute notre dernier match de la saison ! Après on va se manquer, ça serait dommage de passer à côté. Fonce t’inscrire sur l’évènement Facebook, parce que plein de gens l’ont déjà fait et que tu es faible face à la pression sociale.

Mais peut-être – peut-être ! – que tu ne peux pas attendre jusqu’au 1er juin pour voir de l’improvisation. C’est une éventualité. Ça arrive aux meilleurs. Dans ce cas-là, je t’invite à aller voir les mêmes évadés demain soir (25 mai) : ils jouent un spectacle qui n’est pas un match et qui est gratuit. Donc c’est parfait, tu peux aller voir les deux. TU PEUX !

Et si tu as envie d’aller visiter une ville en dehors de Paris mais sans aller trop loin non plus et que par ailleurs tu as envie d’aller à un festival de théâtre étudiant et qu’à la fois tu as peur de te sentir esseulé sans nous – ça peut arriver à tout le monde – viens nous voir au festival Festupic à Compiègne, le 4 juin. Mais c’est pareil : je t’en reparle dans un jour ou deux, avec plus de détails croustillants.

Enfin, si tu as envie d’aller à une foire mais que tu trouves que celle du trône, c’est vraiment la lose, tu peux retourner en 2007 et aller , parce qu’on a vraiment l’air de s’y amuser.

Bisous.

Le match du 5 mai et aussi Félix

Commençons par les trucs importants. Enfin non, puisqu’en fait j’ai tapé le truc futile avant de commencer à taper ça. Mais je me dis que je vais me faire taper sur les doigts si je vous embête avec mes imbécilités avant de parler des dates de spectacle. Peut-être qu’un jour, je sortirai une version director’s cut de cet article. Un jour où mon statut d’artiste de la connerie sera enfin reconnu. Un jour où il y aura un Goncourt du blog idiot. Mais c’est pas pour tout de suite, alors breffons. Bref. Voilà.

Le jeudi 5 mai (et non pas le 4 comme on l’avait prévu à l’origine) nous rencontrons l’équipe de Polytechnique : l’Improbinet. Nous avions joué une paire de match contre eux l’an dernier, le dernier s’étant soldé par un ex-æquo. Et un ex-æquo c’est mal, raison pour laquelle ils reviennent nous affronter chez nous, au 45 rue d’Ulm. Les monstres ! Attention les yeux, voici l’affiche :

Affiche du match d'improvisation Improbinet VS N'Improtequoi - 5 mai 2011

Si ta connexion ne te permet pas d’afficher la bouille sexy de Guillaume, sache donc que tu es attendu le jeudi 5 mai à 20h45, au 45 rue d’Ulm (Amphi Rataud, pour être précis), muni de 3 euros, de cris de fan hystériques et de bisous. Tu y verras un match d’improvisation endiablé, mais uniquement parce qu’on utilise pas assez cet adjectif dans la vie de tous les jours. En vrai, il sera « super cool », mais « super cool », c’est un peu tombé en désuétude. D’ailleurs, à l’occasion, je te parlerai de ma théorie selon laquelle les hipsters sont en fait des chats à forme humaine. (À l’occasion.)

À ce propos, un truc qui n’a rien à voir : on est officiellement devenus potes avec les Évadés de la Rue Barrow, la troupe de Télécom ParisTech avec qui on a joué à plusieurs reprises et que même qu’on a aimé ça. Ils sont très cool, raison pour laquelle je mentionnerai leurs dates de spectacle dans ce blog et surtout dans la petite colonne fasciste de droite de ce blog. Pour l’instant il n’y a rien, mais dès qu’ils annonceront un pestak, on sera sur le coup.

Cela étant dit : VENGEANCE.

L’autre soir, après le match fratricide, on est allés boire un coup. Enfin pour ma part, j’ai bu un chocolat et pas d’un seul coup. Donc je sais pas si ça compte. Mais toujours est-il que pendant cette beuverie infernale, Félix a passé cinq minutes à établir un portrait de mes nuits avec une véracité des plus stupéfiantes. Ça impliquait des choses assez horribles, mais le fait est qu’il a eu tout bon. Et tandis que je faisais l’innocent à grands renforts de « hahaha, lol, t’es con Félix », je me suis interrogé… Comment Félix faisait-il ? Eh bien mesdames et messieurs, j’ai trouvé la réponse. Félix, derrière ses airs de mec indien, est en fait un sorcier berrichon. Authentique, qui plus est. J’irais même jusqu’à ajouter qu’il fait des cartes de visite qui claquent sa mère – dans le respect le plus total de cette dernière.

Félix, authentique sorcier du Berry

Les preuves sont accablantes, irréfutables et imprimées sur du papier un peu jauni. Dans un épisode de Scooby-Doo, ça serait le moment où Félix enlèverait son masque pour révéler qu’il a en fait une énorme barbe blanche et un chapeau bleu-nuit pointu collé sur la tête, mais dans la vraie vie, c’est juste le moment où je vais me coucher.

Bisous !

To the Bat-Printer !

Comme promis, l’équipe contre laquelle on joue mercredi prochain a été confirmée : il s’agit des Évadés de la Rue Barrow, de Télécom ParisTech ! Du coup, voilà une affiche avec Guillaume dans le rôle de la sensualité. Si tu es un vrai fan de nous, tu peux rejoindre notre armée de ninjas et imprimer cette affiche plein de fois pour la coller partout. Si tu nous détestes, recommande-nous à tes pires ennemis – mais pas les plus relous, quand même, s’il-te-plaît. Si tu nous çavasansplusse, imprime-la une seule fois, garde-la sur un coin de table, hésite un peu, puis viens nous voir à la dernière minute si tu n’as rien de mieux à faire ce soir là, parce que ça sera sûrement drôle et qu’après tout, tout le monde aime bien rire, alors bon, pourquoi pas. Et si tu es très pote avec André Dussolier, demande-lui de te lire cette dernière phrase à voix haute pour te faire un petit moment Amélie Poulain.

Affiche du 17 novembre 2010 - Match contre les évadés de la Rue Barrow

Ah et sinon, ça y est : on a autant de fans Facebook que de Pokémons dans les premières versions. Mew compris. Je ne sais pas combien il y en a dans les nouvelles versions, mais c’est notre prochain objectif. La Team Rocket, plus rapide que la lumière !