Viens rigoler le 8 avril

On a mis un certain temps avant de se décider, j’en conviens, mais sache que l’on jouera un match fratricide le vendredi 8 avril. Je te vois venir, petit coquin à la dent affutée : tu avais prévu de partir en vacances ! Mais sache que l’improvisation est un excellent moyen de se détendre avant de rentrer voir tes parents ou encore d’aller s’isoler avec ton petit-copain ou ta petite-copine dans un chalet en montagne. Et sache aussi que c’est vraiment idiot de s’affuter les dents : ça fait super mal et le look vampire, ça marche que sur les gamines de 14 ans. Alors viens nous voir le 8 avril et n’oublie pas de te brosser les dents. Et si tu n’avais pas prévu de partir en vacances, viens quand même. Parce que nous, on t’aime. (Peut-être.)

Et plus sérieusement, c’est parti pour être notre seul évènement du mois d’avril, alors saute sur l’occasion, même si Pierre a l’air méchant.

Affiche du match d'improvisation du 8 avril 2011

Et puis il y a même un évènement Facebook : ajoute-le sur ton calendrier pour que tous tes amis voient que t’as une vie où tu fais des trucs cool. Qu’est-ce qu’ils vont être jaloux, tous tes amis…

Pour info, par « match fratricide », on entend qu’on joue contre nous. On appelle aussi ça « intern’impro », des fois. Concrètement, les deux équipes sont faites de joueurs de chez nous, dont certains nouveaux que tu n’as encore jamais vus. Donc ça sera comme un match normal, sauf que si t’es super fan de nous, au moins t’es sûr de nous voir gagner. Et si tu nous hais, de la même façon, t’es sûr de nous voir perdre. Tout le monde y gagne ! Wouhou !

Sinon, que te dire ? Déjà, que le triptyque s’est très bien passé : on a eu droit à un film de science-fiction, un film d’horreur geek et un film probablement policier. On a eu que des retours positifs, la seule nuance étant : « mais vous allez continuer à faire des matchs, quand même ? » Mais bien sûr qu’on continue à faire des matchs, ne t’en fais pas. Les N’Improtequoi sont une sacré bande de mecs sympa : ils s’ront toujours là pour un triptyque ou pour jouer un match. Non, je ne veux pas activer les touches rémanentes, je cherche un début de phrase ! Enfin bref. Euhm… ça va, toi, sinon ?

Allez, bisous.

Le triptyque du 23 mars

Salut ninja. Je ne peux pas te parler longtemps, parce que je suis actuellement réfugié politique à Varsovie et que si je reste trop longtemps, mes opposants vont réussir à tracer ma position exacte. Ils sont partout. Mais je t’en parle après. D’abord, sache que ça a été décidé il y a quelques jours : le spectacle du 23 mars sera un triptyque. Regarde, c’est marqué là :

Affiche du triptyque d'impro du 23 mars 2011

Mais sais-tu seulement ce que c’est qu’un triptyque d’impro ? Non, hein ? Je le savais, t’as rien suivi. Comme par hasard ! Toujours les mêmes ! Écoute, je veux pas le savoir, donne-moi ton carnet de correspondance. J’ai dit « donne », pas « jette » ! Tu le reprends et tu me le donnes comme quelqu’un de civilisé. Plus vite. Ah c’est comme ça ? Ah c’est comme ça ? OK, tu me suis, on va voir le CPE. On va voir ce qu’il va en dire. Tu l’as cherché, c’est tout ! On me signale que je m’emporte.

Donc un triptyque d’impro, c’est un spectacle avec trois équipes : chacune fait une impro de 25 minutes, avec un thème et un style différent. Sauf que 25 minutes, c’est long. Du coup, les équipes ne font pas 25 minutes d’un coup : elles se passent le relai quand elles veulent. Du coup, pour le public, c’est un peu comme s’il regardait trois cassettes vidéos avec un seul magnétoscope. Mais il va falloir mettre à jour cet exemple, parce que bientôt, les gens auront oublié ce que c’est qu’un magnétoscope. D’ailleurs, on n’est jamais trop sûr : voilà pour toi. Pour en revenir à notre sujet, une autre particularité du triptyque d’impro, c’est que les accessoires sont autorisés : tout le monde se ramène avec un sac d’objets divers et variés et ça permet de s’improviser des costumes ou des décors qui vendent du rêve. Si tu es encore perplexe, je t’invite à venir voir le spectacle. Si tu as compris, viens quand même.

Sur ce je te laisse : les infâmes nouveaux qui veulent renommer ce spectacle en « striptyque » (parce que tu comprends, c’est super drôle, ça fait un peu comme « strip-tease ») me courent après. Ils ne m’auront jamais. JAMAIS !

Bisous.

Pas de vacances pour les gens qui n’ont pas de vacances

Bon ! Donc je réalise que j’ai un peu mis trop de temps à faire ça, mais BAM : voilà l’affiche du match de mercredi prochain ! Mais attention à ton esprit : il y a une révélation qui pourrait bien te le réduire en morceaux. Je te préviens parce que tu es un gentil visiteur de notre site. Les gens qui verront l’affiche imprimée et collée sur les murs n’auront pas cette chance. Voilà.

Affiche du match d'improvisation contre la LIDÉ de Cergy

Eh oui, les improvisateurs jouent pendant les vacances, pour les pauvres d’entre vous qui n’en prennent pas. (Je dis « vous », parce que pour ma part, je serai à Toulouse.) Cela dit : ça vaut le coup de revenir de tes vacances pour ce match, parce que la LIDÉ de Cergy, c’est des gens forts et le match promet d’être vraiment cool. C’est juste que quand on a réservé la salle, on n’a pas réalisé que ça allait être les vacances. Ouais, c’est un peu la lose, mais bon, chut. Voilà l’évènement Facebook du bazar. Go, les ninjas !

Sinon, chose pas cuite chose crue : voilà le programme du festival Rideau Rouge pour le dimanche 13 mars.
18h : « Bureau de tabac », Compagnie Salut Estève !, Paris (Interuniversitaire)
18h40 : Les N’IMPROTEQUOI , (Sciences Po, ENS) – Hors concours (t’as vu, c’est nous)
20h : « Lysis Tratatata », Compagnie Du Feu Plein La Bouche, Paris (ESAD) – Hors concours

et tu peux acheter ton billet pour la soirée entière ici-même. Qu’est-ce que c’est fou, internet…

Bisous.

On va faire un coucou au Rideau Rouge

Le Festival Rideau Rouge est un festival de théâtre amateur organisé par Sciences-Po, qui propose chaque année à quelques troupes de se produire dans de vraies conditions, ce qui est quand même très gentil. Pour participer, il faut passer une audition devant un jury composé de vrais gens qui prennent le théâtre très au sérieux – ce que nous avons fait samedi (auditionné, pas pris le théâtre très au sérieux). Et figure-toi qu’on n’a pas été pris, donc je me demande pourquoi je viens t’en parler. Ah attends, pas tout-à-fait : on n’aura pas 1h30 comme on aurait voulu, mais on nous propose de faire une sorte de « première partie », pendant la soirée du dimanche 13 mars. On a envisagé de faire nos divas pendant une quinzaine de secondes, mais on s’est vite rappelé qu’on ne savait pas chanter. Ladite soirée commencera donc à 18h au Théâtre du Passage Vers les Étoiles – croyez-le ou non, c’est le titre québécois de Stargate – au 17 cité Joly, dans le 11è et il vous en coûtera 10 euros pour voir plein de pièces. Le programme ne devrait pas tarder à être annoncé, on fera suivre les infos ici.

À super-bientôt pour parler du match contre la LIDÉ de Cergy (23 février), avec une affiche et des trucs cool comme ça. En attendant, comme je sais que c’est tristounet d’avoir des gros blocs de texte sans images, voici une photo de nous, un soir d’entraînement, il y a pas longtemps. Rendons à Manon ce qui est à Manon : c’est César qui l’a prise.

Les N'Improtequoi

J’ai pas de lien cool à te donner pour cette fois, alors je te conseille simplement de faire comme moi : mange une banane tartinée de nutella, c’est chouette.

Un peu d’histoire – match du 8 février

Au commencement, il n’y avait rien. Les N’Improtequoi flottaient dans le néant intersidéral du vide de l’espace, en attendant tranquillement le Big Bang – Bibi, tel qu’ils l’appelaient. Lorsqu’il a fini par arriver, on a pu passer aux choses sérieuses : plein de bordel s’est mis en place dans l’univers parce qu’il fallait bien occuper les scientifiques, on a inventé la drogue parce qu’il fallait bien occuper les occupants des maisons de retraite et les N’Improtequoi se sont rassemblés parce qu’il fallait bien trouver quelque chose à faire des autres – Bibi avait pensé à tout. Sacré Bibi. Aussi, la joyeuse petite troupe commença-t-elle son existence dans une grande école parisienne de renom : Sciences-Po. Si si. En effet, les N’Improtequoi n’ont pas du tout commencé leur vie à l’ENS, mais bien en 2002.

Et puis quelqu’un a dormi dans la pièce du bas parce qu’il avait prêté son pull, si bien qu’ils ont déménagé à l’ENS et sont depuis connus comme l’équipe de ladite école. La paix fut instaurée et tout le monde se fit des bisous, à part la concordance des temps, qui décidera qu’elle alla se suicider. Tout le monde oublia l’histoire du mec au pull et on en resta là…

Jusqu’à la récente PROVOCATION EN DUEL (attention, caps lock) d’une NOUVELLE ÉQUIPE DE SCIENCES-PO (en gras !) qui avait décidé de s’appeler les Improspectus et qui voulait faire un concours du plus mauvais jeu de mots dans le nom d’équipe. Leurs mots furent les suivants : « hey mec, ça te dit on fait un match à sciences-po ou un truc comme ça ? » Sans plus attendre, on créa un évènement sur Facebook pour que les absents puissent faire semblant d’être désolés et étaler le point auquel ils allaient faire un truc mieux pendant ce temps. On twitta aussi pour en parler et bien vite tout Paris était au courant de cet évènement d’une symbolique absolument folle. Les gens se passaient l’information : « mardi 8 février à 19h, à Sciences-Po, c’est-à-dire au 13 rue de l’Université« . (Les gens ne savaient pas parler en code.) Bientôt, la rumeur arriva aux oreilles de Bibi le Big Bang, qui jura (à défaut de pouvoir pyréner) d’assister au match.

tl,dr : venez rencontrer le Big Bang. Et lisez en entier, espèces de flemmards.

Pas de spectacle le 4 février et puis viens prendre des cours

Salut ninja. Je sais que j’ai pas beaucoup pensé à toi ces derniers temps et je sais que c’est pas super cool de la part d’un maître ninja (j’ai fait du karaté quand j’avais 9 ans). Je sais qu’il faut que nous parlions du match contre les Claques, parce qu’au-delà du fait que Pierre était un peu grossier à cause de son string, c’était un beau match. Personnellement, malgré les bleus qui me sont restés une bonne semaine sur les genoux (choux, joujoux, hiboux), j’ai beaucoup aimé le jouer et je tiens à remercier les Claques d’être venus, de nous avoir offert une galette des rois et un super bon moment. On l’a gagné, mais c’est uniquement parce que le public de l’ENS est super lèche-cul fidèle – et je l’en remercie. J’essayerai de mettre la main sur des photos ou un truc comme ça. Des dessins, par exemple. On devrait avoir un dessinateur attitré, ça serait la classe. Ou pas.

Enfin bref.

La grosse nouvelle, c’est les dates du mois de février : on jouera la 8 à Sciences-Po et le 23 à l’ENS, en Salle Dussane. Tu as peut-être vu ici-même, dans la section « Dates » ou bien sur Facebook que l’on jouerait aussi le 4, mais tout cela n’était que mensonge hippie, propagande fasciste et diffamation centriste. Donc voilà, on va le mettre en gras pour les gens qui ont la flemme de lire : il n’y a pas de match le 4 février. Enfin il y en aura probablement, mais ailleurs dans le monde. Woaw, je viens de rattraper le verre que j’étais en train de faire tomber. Évidemment, c’est moins impressionnant dit comme ça, mais si t’avais été là, t’aurais trouvé ça balèze.

Pour finir : on ré-ouvre les inscriptions à quelques personnes pour le deuxième semestre ! Il n’y a pas beaucoup de places, mais si vous vous sentez de commencer l’improvisation ce semestre, on vous accueille à bras ouvert et on pourra vous tutoyer comme dans le reste de cet article. Toutes les infos intéressantes sur les cours sont dans la section Cours de ce site, et si les infos intéressantes vous ont intéressé, laissez un commentaire sur cet article ou dans la section Contact. Il ne sera pas publié, mais on le lira et on vous recontactera par e-mail. Et si vous n’avez pas de réponse, vérifiez votre filtre à spam – ça arrive même aux pires.

Bisous.

On prend des claques et on fait des jeux de mots faciles

Bonjour, bonne année, tout ça tout ça. Vous avez passé de bonnes fêtes ? Oulalah moi aussi dis-donc et tout. Bref. Allez, c’est reparti et cette fois c’est au tour de Fathi :

Affiche du match d'improvisation du 12 janvier 2011

Ce mercredi 12 janvier (celui qui arrive, là), nous accueillons Les Claques, une équipe dont je ne sais pas grand chose, à part qu’ils ont l’air méchants sur leur photo mais gentils par e-mail. Mais clairement, s’ils ont l’air méchant sur leur photo, c’est qu’ils sont forts. Un peu comme dans Karaté Kid, sauf que ça n’a rien à voir. Mais ils ont un site internet, alors vas-y.

Il y a un évènement Facebook, si tu veux faire savoir au monde entier que tu viens. Incidemment, ça fera de la pub pour notre match auprès de tes amis, alors tout le monde y gagne. Comme c’est bien fait, internet. Bon, évidemment, peut-être que tu as deux-trois stalkers dans tes amis, parce que tu ajoutes tous les gens que tu croises dans la rue et tous tes anciens camarades de classe que t’avais perdus de vue. C’est mêûgnon.

Bisous et bienvenue dans 2011.

Le N’Improtequoi Nouveau est arrivé

L’autre soir, j’ai appris que quand on lave un chou rouge, l’eau qui en ressort est bleue. Personnellement, ça me perturbe. Quoi d’étonnant à ce qu’on ait du mal à faire manger des légumes aux gens ? Heureusement, il y a internet et scienceamusante.net pour nous donner des explications rationnelles et nous faire manger des légumes l’esprit tranquille. Merci, scienceamusante.net ! Et merci les nouveaux n’impros de nous apprendre des choses totalement inutiles et par extension complètement indispensables – parce que non, ce n’est pas moi qui mange du chou rouge, faut pas déconner. Et j’en arrive à ma conclusion : quand un N’Improtequoi vous parle de la couleur de l’eau qui coule d’un chou rouge, on sait qu’il est prêt.

Et ça tombe bien : on a un match, tout-à-l’heure. Alors on fait une référence un peu facile au Beaujolais nouveau et bim : on a une affiche avec Victor dessus.

Affiche du match d'improvisation du 15 décembre 2010

Des nouveaux, du chou rouge : un match équilibré. Ho ho, voilà une transition toute trouvée pour mentionner que le club cirque de l’ENS fera des acrobaties pendant le match ! On a partagé la scène à la Nuit d’Ulm, il y a quelques semaines, et ça s’est bien passé, alors ils reviennent. Enfin bref : venez. 20h45, 2 euros pour les membres du COF de l’ENS, 3 euros pour les autres, le dernier match de 2010 ! (Ouais, c’est un peu pourri comme accroche, je pense que vous êtes au courant qu’on est le 15 décembre.)

Sinon, parlons des autres trucs qui se sont passés avant. Samedi, j’ai surtout appris qu’un spectacle d’impro après une nuit blanche, ça n’est pas, mais alors vraiment vraiment pas une bonne idée. Mais le public et mes compères étaient enthousiastes, alors je me dis que ça devait être pas mal.

Lundi, on a été jouer un match retour contre les Évadés de la Rue Barrow à Télécom ParisTech. On s’est pris quelques points d’avance dans la face, mais le match a quand même été très agréable à jouer. En plus, les Évadés sont des gens merveilleux qui nous offrent de la pizza et qui ont des trips similaires aux nôtres, comme par exemple faire des solos de binaire pendant la mi-temps. On récupèrera des photos dès que possible. En attendant, il y a celles du premier match contre les Évadés sur Facebook. Ça me fait un peu mal de poster un lien vers Facebook, mais je m’amuserai à les mettre ici une autre fois.

En attendant… euh… bisous.

Back to the 70’s

Salut les ninjas ! Un petit coucou en vitesse pour vous passer l’affiche de notre spectacle de samedi : Back to the 70’s.

Ça sera un spectacle d’improvisation un peu différent de ce qu’on fait d’habitude. On flippe joyeusement, alors soyez choux et venez nous soutenir. Comme le dit l’affiche, ça se déroulera au café « L’Envol Québécois » (pour les habitués des matchs à l’ENS : c’est à moins de 5 minutes à pied). Anne-Sophie fera la MC en costume et les joueurs… improviseront ! Alors si tu en as marre de la grisaille et du froid, viens être nostalgique d’un temps que les moins de trente ans ne peuvent pas connaître. Évidemment, on n’a pas trente ans non plus, donc on fera semblant de faire des références intelligentes et tu feras semblant de trouver ça subtil.

En attendant, il est cinq heures du matin et une question me trotte dans la tête : à quel moment et pourquoi ai-je décidé de faire des crêpes ? Enfin je ne me plains pas, mais j’aimerais comprendre à quel moment est-ce que j’ai explosé le record mondial de procrastination.

Aidez-moi. S’il-vous-plaît.

Des nouvelles et des chocolats

En fait, le Banania est mon seul amour. C’est la seule chose qui reconnaisse vraiment mes efforts au quotidien et qui m’admire pour ce que je fais, et ce depuis ma plus tendre enfance.

Bravo, tu es levé !

Je pense que je vais épouser le Banania. Et le tromper de temps en temps avec du Nesquik et du Benco. Voire même de la Poudre Chocolatée Intermarché et un peu tout ce qui me tombera sous la main. Mais c’est cool, on s’est entendus : le Banania traine avec plein d’autres gens aussi… Bon, assez parlé de ma vie sexuelle.

Nos derniers évènements se sont bien passés, notamment la Nuit d’Ulm où nous avons partagés la scène avec le club cirque à qui on fait un bisou. Juste parce que je suis un peu fatigué et que je n’ai pas bien réfléchi aux conséquences de mes actes.

Comme je l’ai mentionné il y a quelques jours, nous jouerons un spectacle intitulé « Back to the 70’s » le 11 décembre au Café de l’Envol Québecois. Je ne sais pas où c’est non plus, mais dès que j’aurai cliqué sur ce lien Google Maps, j’en saurai davantage. Ah bah voilà : c’est juste à côté de la Place Monge, dans le 5e. C’est beau, la technologie. Il y aura bientôt une affiche à base d’Anne-So en pattes d’eph – d’ailleurs c’est con de dire « pattes d’eph » comme si c’était une abréviation, parce que je suis presque sûr que ça se prononce « pattes d’éléphant » et pas « pattes d’éphélant » mais on me souffle à l’oreille d’arrêter d’emmerder le monde. Ladite affiche aurait du être dans ce post, mais de temps en temps j’oublie de faire ctrl+s et j’ai tendance à pousser mon ordinateur à se recroqueviller en position fœtale. Bientôt, donc. Le spectacle en lui-même sera animé par Anne-So en tenue de hippie, ce qui justifie largement le déplacement.

Comme je ne l’ai pas mentionné il y a quelques jours, nous jouerons également le 13 décembre à Télécom ParisTech pour un match retour contre les Évadés de la Rue Barrow – qui nous avaient rendu visite le 17 novembre – et que j’ai décidé d’intituler « Retour à la Rue Barrow » dans ma tête, parce que je trouve ça classe. Mais vous pouvez l’appeler « Bob », si vous préférez. Mais faites attention à ne pas le confondre avec le spectacle hippie mentionné plus haut. Bob, ça n’est pas nécessairement synonyme de cigarettes qui font rire. S’il-vous-plaît, je vous en prie. Bref. Venez nous soutenir ! C’est là.

Enfin, venez aussi nous voir le 15 décembre à l’ENS (Salle Dussane) : on vous montrera nos nouveaux modèles de N’Impros qui ont commencé les cours en septembre et a très envie de te rencontrer, toi, public. Alors viens super nombreux : on compte sur toi ! L’affiche ne tardera pas non plus à arriver.

Bon et j’ai parlé de chocolats dans le titre, mais le fait est que j’ai fini ma boîte de Pyrénéens en tapant ce post. Alors pour me faire pardonner, voilà de quoi occuper dix minutes de votre vie de façon assez stupide. De rien, bisous.

PS – Ah et au fait, j’ai demandé : Impro Binet, ça n’est pas un acronyme. C’est juste un jeu de mots. Ouais, moi aussi je suis déçu.